Tout un paradoxe, en effet!
L’aventure de l’humain, du naturel à l’artificiel, pour retrouver sa nature réelle, grâce aux allers-retours de sa conscience vers l’objet principal de sa vie en passant par la machine qui le remet en lumière : lui-même.
Entre individu et relation à l’autre dans un espace social, à sa juste mesure ou pas. Jusqu’à pouvoir trouver l’équilibre, déployer les capacités de son intelligence réelle.
Jusqu’où en effet devra-t-il perdre de vue cette nature véritable pour enfin la voir et l’observer en toute clarté?
Tous les simulacres concourent à lui ouvrir les yeux, tout ce qui ruse d’artifices pour tâcher de l’aveugler au point de pouvoir lui montrer un coin du décor qui révèle son mécanisme illusoire. Alors les manigances de l’obscur serviraient-elles les desseins du plus lumineux?
À titre d’illustration, voici la fin alternative du film Limitless :
Limitless (2011) – Alternate Ending – Robert De Niro – Bradley Cooper
In the theatrical version of this scene, Eddie has allegedly managed to kick the brain-enhancing drug in the theatrical version, though we’re never sure if he’s grandstanding. Cooper goes full-on superhero on Robert De Niro after he threatens Cooper’s new political career, telling him to F*** off because he doesn’t need the luxury drug.
Les simulacres se révèlent à ceux qui regardent bien
(Derrière la caméra / Devant la caméra)